Conseil de carrière

Ce que les profs ne peuvent pas faire

Beaucoup de choses ont changé dans l’éducation au fil des années, certaines pour le mieux et d’autres pour le moins bien. De nombreuses choses que nous avions l’habitude de faire pour aller plus loin ou être plus efficaces dans notre travail sont tout simplement interdites avec le climat actuel. Voici ce que les profs ne peuvent pas faire

1. Réconforter physiquement les enfants

Même avant la pandémie, faire des câlins aux élèves était déjà considéré comme risqué. Il est triste qu’un adulte doive y réfléchir à deux fois avant de réconforter physiquement un enfant dans le besoin, mais c’est la situation malheureuse dans laquelle se trouvent les enseignants de nos jours.

2. Donner aux élèves la possibilité d’échouer

Autrefois, les élèves avaient le choix d’échouer. Les conséquences de ce choix leur permettaient d’apprendre d’importantes leçons de vie. Aujourd’hui ? On ne fait que compromettre l’éducation d’un enfant pour apaiser des parents mécontents. Et c’est une véritable honte.

3. Tenir les élèves responsables de leur comportement

Les enfants nous ont démasqués, les gars. Ils savent qu’ils peuvent agir comme des idiots et s’en tirer. À un moment donné, nous avons cessé de faire respecter les règles de l’école et d’exiger un comportement approprié de leur part. Nous pouvons discuter du pourquoi et du quand cela s’est produit, mais tout ce que l’on peut dire, c’est que c’est une tendance que certains aimeraient voir inversée.

4. Respecter les limites personnelles

Il est largement admis (et donc attendu) que les parents et les élèves doivent avoir accès à leurs enseignants 24 heures sur 24. Maman a envoyé un courriel à 20h30, pourtant elle s’attend à une réponse dans l’heure qui suit. Il est sans importance que les élèves aient soumis leurs dissertations au dernier moment ; ils attendent un retour immédiat. Si les enseignants ne font pas de leur travail une priorité absolue, ils se considèrent comme non qualifiés ou inefficaces. La façon dont notre carrière empiète sur notre vie personnelle est l’une des principales raisons pour lesquelles tant d’entre nous se révoltent.

5. S’amuser sans finir sur TikTok

Autrefois, les enfants nous faisaient savoir si nous avions quelque chose entre les dents ou si notre tenue ne leur plaisait pas. Aujourd’hui, les élèves diffusent tout, de nos divagations passionnées sur la poésie au papier toilette qui traîne sous notre chaussure. Le ciel nous interdit de déguster une margarita ou de nager dans une piscine publique. Nos gorgées et nos trempettes deviendront inévitablement une source d’inspiration pour les GIFs et les histoires Instagram. Rien n’est sacré, la vie privée n’existe plus !

Il faut espérer que les futures évolutions de l’éducation placeront à nouveau l’apprentissage au centre, donneront aux enseignants plus d’autonomie dans leurs classes et exigeront des élèves qu’ils utilisent les filtres les plus flatteurs lorsqu’ils nous placardent sur tous leurs canaux de médias sociaux.

6. Un prof a t-il le droit de confisquer un portable ?

Les élèves n’ont pas le droit d’utiliser des téléphones portables à l’intérieur de l’école pendant les heures de cours ou les récréations.

Pendant les activités pédagogiques qui se déroulent à l’extérieur de l’école, les élèves ne peuvent pas également utiliser un téléphone portable.

Les élèves ne peuvent pas aussi utiliser leur téléphone comme calculatrice ou de déterminer l’heure à la place de celle-ci. Ils peuvent le faire dans des circonstances et des lieux précis, notamment à des fins pédagogiques.

Les élèves n’ont pas le droit d’utiliser des appareils mobiles à des fins non scolaires. En cas d’infraction, les responsables, les enseignants, les éducateurs ou les surveillants peuvent confisquer le téléphone de l’élève. Selon le règlement de l’école, le combiné doit être restitué.

Un élève souffrant d’un problème de santé peut utiliser un équipement connecté si cela est nécessaire.

7. Un prof a t-il le droit de crier sur un élève ?

Une loi sur l’éducation adoptée en 2019 interdit les violences physiques, psychologiques et verbales dans les écoles.

L’enseignant ne peut pas élever la voix de l’élève, ceci est contraire à la loi. De plus, chaque élève a droit à une protection contre les insultes et au respect de sa dignité.

Lorsque les parents d’un élève possèdent que leur enfant est mécontent du comportement et de la voix d’un enseignant, ils doivent prendre des mesures pour protéger leur enfant. Ils doivent rencontrer l’enseignant pour discuter du problème. Si le problème n’est pas résolu après une discussion avec l’enseignant, vous devez contacter le directeur de l’école. Le directeur de l’école, en tant que personne responsable, doit s’occuper de cette question.

8. Un prof a t-il le droit de toucher un élève ?

Les enseignants n’ont pas le droit d’utiliser la violence à l’encontre des élèves, il est donc nécessaire de le rappeler une nouvelle fois. Les salles de classe et les locaux scolaires ne sont pas le lieu où les enseignants peuvent lever la main sur les élèves.

Il est vrai que les enseignants doivent souvent faire face à des situations stressantes. Par exemple, lorsque leurs classes sont surchargées ou lorsqu’elles ne parviennent pas à maintenir leur autorité pendant un cours. Cependant, cela ne les autorise pas à dépasser les limites.

En termes simples, les enseignants n’ont pas le droit de frapper ou d’agresser verbalement les élèves. Ce comportement était autrefois acceptable, mais ne l’est plus.

(Source)

51 commentaires

  1. Je comprends la pénurie de profs.
    Les profs travaillent de plus en plus . Avec »bénévolat « obligatoire.
    Manque de considération de la part de directeurs (trices),d’ élèves qui se permettent tout ou presque et de parents qui soutiennent systématiquement leurs enfants.

  2. On a introduit la démocratie à l’école….
    On le voit !

  3. Merci j’avais un prof qui me parlais trop mal et qui crier beaucoup trop et j’ai réussi a le faire viré avec une petition et un appel des flic en presence du directeur qui soit dit en passant n’étais clairement pas d’accord .

  4. Bonjour je voulais savoir si une maîtresse avait le droit d’afficher l’évaluation du comportement sur le tableau de chaque enfant sur le tableau lors d’une réunion avec les parents

  5. Je connais un proviseur qui s est permis de faire un hurlement sur une élève, dans son bureau,car celle-ci remettait en cause sa décision d obliger une autre élève à venir en cours uniquement l après midi alors que celle ci s est faite agressée dans l enceinte du lycée , le proviseur autorise l’ agresseur à venir en cours les matins. Le proviseur s étant caché derrière la fameuse phrase : vous étiez là quand c est arrivé ? Bon nous non plus !! Elle est belle la conscience de l éducation nationale.. on peut se faire agresser et les cours sont donnes à la carte en laissant soin à un enfoiré de revenir tranquille dans l établissement . Une honte !!!!!

  6. Ces lois ne sont plus respecter dans les école par exemple un enseignant peux frapper un élève jusqu’à déchiré sont corps❓

  7. Bonjour esque si un enfant a des difficultés a lire un texte en français esque le professeur a le droit de lui dire que tu parle pas français pourquoi t’ai en France rentre dans ton pays ?

  8. Rentre dans ton pays à un élève d’origine étrangère non c’est totalement interdit c’est du racisme pur et simple.

    Sinon j’ai connu un prof qui a dit à un élève qu’il avait l’air ridicule avec sa marche en canard

    Mon directeur de l’époque ma dit que j’étais horrrrrrrrripilant

  9. Bonsoir que faire contre un,directeur qui a menacer mon enfants en disant  » si j’étais madame untel je vous aurez jetter par la fenetre mais comme nous sommes au 1er etage il n’y ara pas dinpacte  » sil vous plait aidez moi , je voudrai lui ecrire une lettre et ainsi que à lacademie

  10. Dans un premier temps, il est recommandé de parler directement au directeur de l’école. Vous pouvez aborder la situation de manière courtoise pour exprimer vos inquiétudes concernant les propos inappropriés qu’il a tenus envers votre enfant.

    Si la conversation avec le directeur ne donne pas de résultats satisfaisants, la rédaction d’une lettre formelle est une étape suivante. Cette lettre devrait décrire en détail l’incident, indiquant la date, l’heure et les personnes présentes. Adressez-la au directeur de l’école et conservez une copie de cette lettre pour vos propres dossiers.

    En cas de persistance du problème, vous pouvez prendre contact avec l’Académie locale de votre région. Ils devraient être en mesure de vous guider sur la façon de signaler l’incident et de suivre une procédure appropriée.

    Il est crucial de rassembler et de conserver toutes les preuves de l’incident, telles que des témoignages de témoins, des enregistrements audio ou vidéo, des captures d’écran de messages (le cas échéant) et tout autre document pertinent. Ces preuves peuvent être précieuses pour appuyer votre cas.

    Si, malgré toutes ces étapes, le problème persiste, il peut être judicieux de consulter un avocat spécialisé dans les questions liées à l’éducation. Un avocat pourra vous conseiller sur les options légales disponibles pour résoudre la situation de manière appropriée. Gardez à l’esprit l’importance de maintenir une communication respectueuse tout au long du processus.

  11. Ma fille de 13 ans apres un cours de sport est rentrée en pleure. Pe’da’t qu elle courait sa prof a fait la remarque « mais c est quoi cette catastrophe » puis devant toute la classe lui a dit quelle fesait pitié et que c etait une memere et que cela serait son surnom. J ai demande un rendez vous avec ce professeur. Mais vomment etre sur qu’il ne la prendra pas en grippe par la suite

  12. Oh là là, c’est vraiment pas cool ce qui s’est passé avec votre fille. C’est triste de voir qu’elle a été blessée par les remarques de sa prof de sport. C’est une situation délicate, mais c’est bien que vous ayez demandé un rendez-vous avec le professeur pour en discuter.

    Pour être sûr que votre fille ne soit pas prise en grippe par la suite, peut-être que vous pourriez exprimer vos inquiétudes calmement lors du rendez-vous. Vous pourriez expliquer comment ces remarques ont affecté votre fille et demander comment on peut s’assurer que cela n’aura pas de conséquences négatives sur sa relation avec la professeure.

    Il est important que l’échange se fasse dans un esprit de compréhension mutuelle et de résolution, afin que votre fille puisse continuer à apprécier ses cours de sport sans que cela devienne une source de stress. J’espère que le rendez-vous sera constructif et que cela aidera à apaiser la situation.

  13. Bonjour je suis victime et non une petite victime d’abus sur autorités la professeur de français a cause d’un soi disant chewing-gum mâche(c’était le cordon de mon sweat 🥺) m’a donné des lignes et je crois que c’est interdit depuis 1850 je crois qui dit « je ne mangerai plus jamais de chewing-gum en classe sucette bonbon » ect ect la liste est longue en plus sur 2 feuilles double merci beaucoup d’avoir lu mon message sa m’aide à me calmer

  14. Je suis désolé d’apprendre que vous avez été confronté à une situation désagréable à l’école. Cependant, il y a quelques éléments à prendre en compte en ce qui concerne les punitions en classe en France.

    La punition consistant à faire copier des lignes en classe n’est généralement pas interdite en France, bien que son utilisation soit soumise à certaines règles et limites. Les enseignants ont le droit d’utiliser des sanctions disciplinaires pour maintenir l’ordre en classe et encourager le respect des règles.

    Cependant, il existe des directives et des limites concernant ces punitions. Les sanctions doivent être proportionnées à l’infraction commise et ne doivent pas être humiliantes ni dégradantes. De plus, elles ne doivent pas porter atteinte à la dignité de l’élève.

    Dans votre cas, si vous estimez que la punition était disproportionnée ou qu’elle a été infligée de manière injuste en raison d’un malentendu, il peut être judicieux d’en parler à un responsable de l’école ou à vos parents. Ils peuvent discuter de la situation avec l’enseignant et, si nécessaire, avec la direction de l’école pour trouver une solution appropriée.

    En fin de compte, il est important de maintenir une communication ouverte et respectueuse avec les enseignants et les responsables de l’école pour résoudre ce genre de problèmes de manière constructive. N’hésitez pas à demander de l’aide et du soutien pour que votre expérience scolaire reste positive.

  15. Bonjour,
    Un prof a t’il le droit de contacter le médecin traitant d’un élève espérant savoir si il est bien atteint d’une pathologie ???
    Quel recours pour les parents ?

  16. En France, la protection des données personnelles est régie par le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) ainsi que par la loi française. Le médecin traitant d’un élève est soumis au secret médical, ce qui signifie qu’il ne peut pas divulguer d’informations médicales sur un patient sans le consentement de ce dernier, sauf dans des circonstances spécifiques prévues par la loi.

    Dans le contexte scolaire, un enseignant peut être préoccupé par la santé d’un élève, mais il ne peut pas contacter directement le médecin traitant de l’élève sans le consentement des parents ou de l’élève lui-même s’il est majeur. Les enseignants sont tenus de respecter la confidentialité des informations médicales des élèves.

    Si un enseignant a des préoccupations concernant la santé d’un élève, il devrait d’abord en parler à la direction de l’école ou à un responsable scolaire désigné. Les parents de l’élève peuvent également être informés de ces préoccupations, et il peut être envisagé de travailler ensemble pour trouver des solutions appropriées. Si les parents estiment que leurs droits à la vie privée ou ceux de leur enfant ont été violés, ils peuvent consulter un avocat spécialisé en droit de la vie privée et de la protection des données pour obtenir des conseils juridiques spécifiques à leur situation.

  17. Est ce qu’un professeur a le droit de me regarder moi, mon époux, et mes enfants de travers, et de ne pas interroger mon enfant car il fait une bêtise, il y a deux moi et a eu sa punition mais le professeur et le personnel de l’école avec le directeur veulent pas la dépasser, je pleure tout le temps car je sens un harcèlement moral surtout leurs regards envers nous alors que notre enfant a juste menti et il a que 9ans
    Et a qui s’adresser pour arrêter ca s’achant que mon enfant a arrêté presque de manger et il vomit toujours après

  18. Je suis désolé d’entendre que vous traversez une période aussi difficile. La situation que vous décrivez semble complexe et préoccupante. En France, comme dans de nombreux pays, les écoles et les enseignants doivent suivre des règles strictes concernant le traitement des élèves et des parents.

    Droits et Responsabilités des Enseignants: Les enseignants ont le droit de gérer la discipline en classe, mais cela doit toujours se faire dans le respect de l’élève. Les regards ou attitudes désobligeants, s’ils sont avérés, ne sont pas appropriés et peuvent être perçus comme du harcèlement moral.

    L’Élève et la Discipline: Si votre enfant a commis une faute et a déjà été puni, cette punition devrait normalement suffire. L’éducation nationale française prône une approche pédagogique axée sur l’apprentissage par les erreurs et non sur la punition continue.

    Communication avec l’École: Il est important de communiquer vos inquiétudes avec l’école. Si vous ne vous sentez pas écouté par l’enseignant ou le directeur, vous pouvez demander une réunion avec eux pour discuter de la situation de manière constructive.

    Intervenants Extérieurs: Si le dialogue avec l’école ne donne pas de résultats satisfaisants, vous pouvez contacter l’inspection académique de votre département. Ils sont responsables de la supervision des écoles et peuvent intervenir en cas de problème grave.

    Santé de votre Enfant: Concernant la santé de votre enfant, les symptômes que vous décrivez (manque d’appétit, vomissements) sont préoccupants. Il serait judicieux de consulter un médecin pour écarter tout problème de santé et éventuellement un psychologue pour l’aider à gérer son stress et son anxiété.

    Assistance Juridique: Si vous estimez que la situation constitue un harcèlement moral, vous pouvez également chercher des conseils juridiques. En France, il existe des associations et des avocats spécialisés dans le droit de l’éducation et la défense des droits des enfants et des parents dans le système scolaire.

  19. Bonjour,

    Est ce que ces points son applicable en suisse ou il y a des différences ???

  20. Bonjour,
    L’enseignante de mon fils en Classe de Cm1 lui a ôté sa sacoche de jouets toupie qu’il portait sur lui pour la jeter par terre. Le lendemain je lui ai demandé 5 minutes à m’accorder afin d en discuter, elle a refusé. J’ai donc demandé un entretien avec celle- ci.Le Rdv a eu lieu ce matin, lorsque j’aborde le « sujet de violence »en lui disant que j’exige le respect de la part de mon fils auprès du corps enseignant et des élèves tout comme le respect devrait y être d’elle à lui, cette dernière décide de clore le sujet de discussion et refuse d’en discuter sous prétexte que j’aurai dû venir pour parler uniquement du parcours scolaire. Je précise qu’elle a aussi levé la voix envers moi,tout en sortant de la salle de classe,sortez ,partez, je discuterais pas de ça. Me disant qu’elle s’occupe de son papa malade , qu’elle a 30 élèves à gérer , qu’elle va se mettre en arrêt. Elle tremblait, criait, m’ordonne de retourner dans la salle de classe (comme si j’étais son enfant) puis me dit « et donc? Vous allez faire une action en justice pour ça ?. Je reste bouche bée face à son attitude alors que je venais discuter avec elle en lui exprimant mon désaccord avec son geste violent, j’ai aussi tenté de la rassurer la voyant trembler de peur ou de nerfs, je ne sais pas trop, elle m’a crié dessus en me disant de ne pas l’approcher,qu’elle ne me connaît pas. Qu’on ne peut plus rien dire aux enfants, les parents ne sont jamais d’accord avec l’enseignante. Elle me parle de BFMtv, que nous sommes plus jeunes qu’elle, bref elle mélange tout. Elle a finalement fini pas s’excuser mais d’après elle « ne serait pas à l’abri d’un cahier qui pourrait voler ». On est dans un basse-cour ? Ce sont des élèves pas des animaux. Je veux bien comprendre que ces soucis personnels ou qu’elle ai pu être excédée l’attitude des enfants qui ne conviennent pas à sa vision des choses « car et je suis tout à fait d’accord l’école est pour étudier » bien que les récréations soient faites pour jouer ,ou ne pas arriver à les gérer.Mais de là à me faire comprendre qu’elle n’a pas à se justifier ,me crier dessus, ne pas être à l’écoute de ce que je suis venue lui dire.Je reste dans le questionnement si face à ce cinéma qu’elle m’a fait de laisser passer cela ou écrire à la directrice .Je suis terriblement déçue ne n’avoir pas pu avoir un dialogue concis à ce propos bien qu’elle a été par la suite très éloquente et positiveconcernant le travail de mon fils.

  21. Je comprends votre préoccupation concernant l’incident survenu entre votre fils et son enseignante. En France, la loi sur l’éducation stipule que tous les élèves doivent être traités avec respect et dignité. Cela implique également que le comportement des enseignants envers les élèves doit être exemplaire et respectueux.

    Concernant le comportement de l’enseignante : Jeter les affaires d’un élève peut être perçu comme un acte de manque de respect et peut être traumatisant pour l’enfant. Il est important que les enseignants maintiennent un environnement d’apprentissage positif et sécurisant.

    Refus de communication : Le refus de discuter de l’incident avec vous n’est pas conforme aux attentes d’une communication ouverte entre les parents et l’école. Les enseignants devraient être disposés à discuter de toute préoccupation concernant leurs élèves.

    Votre démarche : Demander un entretien était une approche appropriée. Cependant, la réaction de l’enseignante, qui semble avoir été défensive et émotionnelle, n’était pas professionnelle. Il est important que les enseignants restent calmes et ouverts au dialogue, même dans des situations tendues.

    Actions possibles : Si vous sentez que l’incident n’a pas été résolu de manière satisfaisante, vous pouvez envisager d’écrire à la direction de l’école pour exprimer vos inquiétudes. Il est important de rester factuel et de décrire l’incident tel que vous l’avez perçu, en soulignant votre volonté de trouver une solution constructive.

    Dialogue et médiation : Dans certains cas, une médiation avec l’enseignant, la direction de l’école et éventuellement un médiateur scolaire peut être utile pour résoudre les malentendus et restaurer une relation de travail positive.

    Il est important de garder à l’esprit que les enseignants sont aussi humains et peuvent avoir des moments de stress ou de difficultés personnelles qui affectent leur comportement. Cependant, cela ne justifie pas un comportement inapproprié envers les élèves ou les parents. La clé est de trouver un équilibre entre la compréhension des défis auxquels les enseignants sont confrontés et la garantie que les élèves reçoivent le respect et l’éducation de qualité qu’ils méritent.

  22. Bonjour.

    Je voudrais savoir si une maîtresse d’école primaire a le droit de sanctionner un eleve en le privant de sortie scolaire. et en le privant aussi des APC car cela ne correspond pas a ses attentes.soit disant pour un comportement de l enfant qui ne respecte pas les règles de vie de la classe et cela s en en avoir été informé au préalable. merci de votre retour.

  23. J’ai une question :
    Un enseignant a t-il le droit de demander à toute la classe de poser leur téléphone sur le bureau du professeur alors que les élèvent ne les ont pas utiliser ?
    Si le professeur a le droit, les élèves ont-ils le droit de refuser ?

  24. bonjour

    Est-ce que un professeur à le droit de mettre des notes négatives ?et a t-il le droit de faire sortir un élève pendant 30 min (dans le froid) juste parce que il n’a pas été sage (sans dire des gros mots) et (désolée c’est très long )un prof a le droit de mettre un mot parce que leur exercice n’étais pas fais (sans dire que les élèves devais le faire ?

    merci d’avoir lu ce message.

  25. Bonjour !

    Tout d’abord, merci d’avoir pris le temps de poser ces questions, elles sont vraiment importantes pour comprendre les droits et responsabilités dans le milieu scolaire. Alors, plongeons-y avec un esprit ouvert et un sourire 🙂

    Sur les notes négatives : Alors, en France, la règle générale, c’est une échelle de 0 à 20 pour les notes. Des notes négatives, c’est comme essayer de mettre un pull à l’envers, ça ne colle pas vraiment au système ! Donc, normalement, non, pas de notes négatives.

    Sortir un élève en cas de bêtise : C’est un peu comme envoyer quelqu’un au coin, mais avec une touche plus sérieuse. Sortir un élève peut être une solution pour calmer une situation, mais attention, la sécurité et le bien-être de l’élève sont primordiaux. Le faire sortir dans le froid pendant 30 minutes, c’est un peu comme oublier son parapluie sous un gros orage – pas vraiment idéal ni raisonnable.

    Un mot pour un exercice non fait : C’est un peu comme rappeler à quelqu’un qu’il a oublié de ramener des croissants pour la réunion. Un enseignant peut effectivement signaler aux parents qu’un devoir n’a pas été fait. Mais, c’est important que tout soit clair comme de l’eau de roche : si les élèves ne savaient pas qu’ils devaient faire l’exercice, leur mettre un mot, c’est un peu sévère.

    En bref, les profs ont un rôle super important, mais ils doivent aussi jouer selon les règles du jeu. Si quelque chose vous semble pas tout à fait juste, n’hésitez pas à en discuter avec eux ou avec la direction de l’école. Après tout, c’est en parlant qu’on résout le mieux les problèmes, pas vrai ?

  26. Bonjour, moi ça fait des années, que je me bat avec le directeur du collège, où sont mes enfants, ça a commencé avec mon grand, qui a subit de l’harcelement, on s’est battu contre la direction pendant plus de mois, mais c’était nous les méchants, pour mr le directeur tout allait bien dans son collège, jusqu’au jour, ou nous avons eu des preuves, que les gendarmes sont venus et que son fils, fesais parti des harceleurs.
    Mais il se prend pour un dieu dans son établissement, et tous les problèmes viennent des enfants, mais jamais de lui et de ses profs. Alors oui, de nos jours, il n’est pas facile de travailler avec les enfants, je travaille en cantine do’c je connais, les enfants sont irrespectueux, mais pas tous.
    Il est tellement plus facile de viré, celui qui n’a rien fait, que ceux qui foutent la M****. Pour ma part, moi il m’a fait comprendre Qu il ne le recevrai plus dans son bureau, MDR.
    Les directeurs sont du genre, aucun problèmes dans mon collège, ça ne fait pas bien, je pense qu’il devrait être puni par la loi, quand malheureusement ça se fini mal pour un enfant.
    Pour ma part l’éducation nationale, me sort par les trous de nez 🤬

  27. Bien sûr, je comprends à quel point il peut être frustrant de se battre contre le harcèlement scolaire, surtout lorsque les autorités de l’école ne semblent pas réagir de manière adéquate. Dans une situation comme celle-ci, il est essentiel de rester déterminé et de suivre les étapes appropriées pour protéger votre enfant. Tout d’abord, signalez le harcèlement à l’école et conservez des preuves tangibles pour étayer votre cas. Si le directeur de l’école ne répond pas correctement, n’hésitez pas à faire appel à l’académie ou au rectorat pour obtenir de l’aide. Souvenez-vous que vous n’êtes pas seul dans cette lutte, et il existe des ressources légales pour vous soutenir, notamment la possibilité de consulter un avocat spécialisé dans les questions scolaires.

    En parallèle, envisagez des approches constructives telles que la médiation pour résoudre le problème. L’éducation de votre enfant est une priorité, et en travaillant ensemble avec l’école et d’autres parents, vous pouvez contribuer à créer un environnement plus sûr et plus respectueux pour tous les élèves. N’oubliez pas que la persévérance est la clé pour garantir que les droits de votre enfant soient respectés et que des mesures adéquates soient prises pour mettre fin au harcèlement. Vous êtes un défenseur important de votre enfant, et votre engagement envers leur bien-être est louable.

  28. Bonjour
    Mon fils est en terminale,une prof la pris en grippe elle lui fait remarques sur remarque alors que tout les eleves font la meme chose.
    Elle lui a donner une punition.
    Ayant contester, le directeur ma telephoner et ma parler mechament en me disant que mon fils etait virer pdt 4 jours.
    Je lui ai demander un entretien tous ensemble il a pas relever et ma dit si vs voulez pas respecter les regles c’est comme ca.chez vous c’est vous qui commander ici ces moi.Et si ça vous convient pas changer le d’etablissement.
    Je trouve que tout ça est de l’abus de pouvoir,que puis-je faire svp

  29. Bonjour,
    Quelles sont les démarches à effectuer lorsqu’un professeur insulte un élève ? ( niveau secondaire ) ?
    Le proviseur a été rencontré, mais nouveau dans l’établissement il a répondu qu’aucune plainte n’avait été déposé contre ce professeur.
    Les parents d’élèves ont été contactés. Depuis des années, des cas similaires d’insultes et violences verbales sont connues, mais jamais aucune démarches.
    Le professeur se défend régulièrement en rencontrebparents professeurs en prônant de vouloir mener les élèves vers l’excellence.

    Faut il attendre que cela se reproduise, pour qu’un harcèlement moral soit prouvé ?
    Les parents doivent ils faire une lettre écrite, avec copie au dsden en demandant un rdv ?
    Porter plainte au commissariat et saisir le procureur de la république est ce necessaire dans l’immédiat?
    Il s’agit d’une élève en 5eme, de 12ans, insultée par un professeur.
    Les sanctions et procédures sont strictes concernant le harcèlement entre élèves ou vis à vis d’un professeur, qu’en est il depuis la loi de 2019 lorsqu’il s’agit d’un fonctionnaire d’état sur un élève mineur de moins de 15ans ?

    Merci de vos precisions

  30. Bonsoir/Bonjour

    Vue l’heure j’hésite, … en voulant me renseigner sur certaines procédures je suis tomber sur ces informations et me suis retrouvée à lire les commentaires et la réponse apportée à chacune d’entre eux.

    J’aimerai être éclairé sur certains points de la situation de mon enfant (un garçon de 10 ans en CM2) avec son maître d’école. Depuis le début de l’année mon fils rencontre des difficultés avec ce monsieur. J’ai sollicité celui-ci en premier lieu en allant à sa rencontre dans la cour, ce qui fut assez malaisant au vue de son comportement hautain. J’ai par la suite, fais une demande de rendez-vous. Afin de pouvoir nous expliquer au mieux sur la situation et tenter de trouvé des solutions afin de remédier à ce qui semblait prendre une tournure vraiment triste et inconfortable pour mon enfant (mais aussi pour le maître!). Il faut savoir que le jour du rendez-vous, j’ai eu une urgence santé, je n’étais alors pas au meilleur de ma forme lors de notre entrevue. Avant notre rencontre, dans la cour. Ce monsieur a hurler sur mon enfant, car je souhaiter la présence de mon fils afin qu’il puisse s’exprimer auprès de son maître, qui lui, à refuser. Mon fils contestant car souhaitant être présent et entendu, c’est retrouver avec un homme à quelque centimètre de son visage, lui crier et lui rappeler qui était le « maitre » et qui décidait. Le choc à était violent autant pour mon enfant que pour moi. Je suis rester figé, malgré tout une fois mes esprits repris, j’ai donc fais rentré mon fils (nous résidons non loin de l’école, heureusement!) Je me suis donc retrouvé, quelque peu en état de choc fasse un monsieur arrogant. Ne me laissant pas m’exprimer, me coupant la parole pour donner son point de vue et lorsque j’ai sollicité son attention en lui rappellant que pour une communication saine et une compréhension de chacun, la base était tout de même de prendre le temps de s’écouter… Ce monsieur a pris le soin de se lever de son bureau en guise de signalement de fin d’entretien.

    Une fois chez moi, la pression retombé, je me repasser l’épisode de la cour en boucle et je n’avais pu m’exprimer à ce sujet, ni complètement lors de notre rendez-vous. J’ai donc décider de verbaliser le tout par mail de façon respectueuse et cordialement (ce qui ma pris un certain temps) mais cela n’a toujours pas eu le résultat positive que mon fils et moi en attendions.

    Quelques jours passent, mon fils fini par me faire une grosse crise d’angoisse un vendredi matin devant l’école. Je décide donc de garder mon enfant prêt de moi. Et de sollicité une entrevue avec madame la directrice, qui me recevra le lundi. Cette dame, me dit: « je ne suis pas la patronne de ce monsieur, je ne peux pas faire grand chose… que voulez vous que je fasse? » Finalement, cette dame, suite à notre rendez-vous ira parler à mon enfant lui disant que ces à lui de changer son comportement vis à vis de l’adulte… J’ai tenté de contacter le rectorat, par mail, afin d’avoir des réponses et je n’ai reçu aucune réponse.

    Mon fils est retourner à l’école et les choses ont eu l’air de s’être apaiser. En vain, j’apprends qu’en faite mon fils garde le silence depuis des mois et encaisse, les remarques désobligeantes, l’humiliation d’être affiché aux yeux des camarades (pas seulement lui, il m’explique que ces camarades également subissent ce genre de comportement) … Je n’ai guère envie de m’alerter pour autant je me sens impuissante à protéger mon enfant!

    Bref… en soi ma demande est… à ce stade que dois-je faire?

    Vous remerciant par avance de votre futur réponse.

  31. Le professeur principal de la fille l’a brutalement prise par son sac à dos et lui a fait faire demi tour pour la remettre dans le rang car elle en était sorti pour rendre un objet à sa camarade. Le professeur confirme à l’écrit qu’il était à bout à ce moment là. Ma fille s’est sentie humiliée devant tous ses camarades et certains adultes. J’ai également du l’amener à l’hôpital qui ont remarqué une inflammation du à un fort étirement. J’ai essayé d’avoir des explications de la part du professeur et de l’administration mais rien pendant une semaine. Je me suis déplacée mais le principal a eu des propos très virulent et ne veut rien savoir.
    Que puis je faire ?

  32. D’abord, je tiens à exprimer ma sympathie pour la situation difficile que vous et votre fille traversez. En France, la sécurité et le bien-être des élèves sont des priorités essentielles dans le système éducatif, et il existe des procédures spécifiques pour traiter de telles situations.

    Voici les étapes que vous pouvez envisager :

    Documenter l’incident : Il est important de documenter tout ce qui s’est passé, y compris les détails de l’incident, les noms des témoins, les dates, et tout échange que vous avez eu avec l’école ou le personnel.

    Rapport médical : Conservez une copie du rapport médical de l’hôpital indiquant l’inflammation due à un étirement, car cela constitue une preuve de l’impact physique de l’incident.

    Communication écrite avec l’école : Si vous n’avez pas déjà envoyé une lettre formelle à l’école (directeur, professeur principal, conseiller d’éducation), faites-le. Expliquez l’incident, exprimez vos préoccupations et demandez une réunion formelle pour discuter de la situation.

    Inspection académique : Si l’école ne répond pas de manière satisfaisante, vous pouvez contacter l’inspection académique de votre département. Cet organe est responsable de la supervision des établissements scolaires et peut intervenir en cas de problème sérieux.

    Protection de l’enfance : En cas de suspicion de maltraitance ou de blessure grave, vous pouvez également contacter les services de protection de l’enfance.

    Conseil juridique : Considérez la possibilité de prendre un avocat spécialisé en droit de l’éducation ou en droit des mineurs pour obtenir des conseils sur les démarches légales à suivre.

    Médiateur de l’éducation nationale : Le médiateur de l’éducation nationale peut intervenir en cas de conflit entre les parents d’élèves et l’administration scolaire.

    Porter plainte : Si vous estimez que l’incident constitue une faute professionnelle grave ou une agression, vous pouvez porter plainte auprès de la police ou de la gendarmerie.

  33. Bonjour! Je suis un élève et je voulais savoir si un professeur avait le droit de mettre deux cours de la même matière dans la journée parce que un autre professeur est absent alors qu’on pourrait finir le collège plus tôt. Quand on lui a demandé pourquoi on avait deux cours de la même matière dans la journée, il nous a dit que c’était pour rattraper les dizaines de minutes où l’on ne fait pas cours et on perd du temps à cause d’élèves dissipés ou insolents. A-t-il vraiment le droit? Merci d’avance!

  34. Bonjour,
    Je voulais savoir si une enseignante a le droit de questionner mon enfant sur notre vie privé? D’après ma fille, cette enseignante est une copine de mon ex belle-sœur au quel a plus de contacte avec nous depuis plus que 3 ans, inclu le père, sachant que j’ai obtenue la garde exclusive de mes enfants. Ma fille a été traumatisée par le passé a cause de son père et ont n’en parle jamais de ça à la maison jusqu’à qu’elle a été questionné par cette enseignante pendant le temps de lecture en APC. Elle est en CE2. Ce que je vois est que l’enseignante passe pour Intermédiaire de sa copine en questionnant ma fille, et fournit l’information personnelles à sa copine et ensuite au père. Pour moi c’est une sorte de violation de nitre intimité et notre vie privée!
    Merci à l’avance pour votre reponse.

  35. Bonjour ! En France, l’organisation des cours et de l’emploi du temps au sein d’un établissement scolaire, tel qu’un collège, relève de la compétence de la direction de l’établissement et des enseignants, dans le respect des directives de l’Éducation Nationale.

    Concernant votre question :

    Double Cours de la Même Matière : Il est effectivement possible pour un établissement d’organiser deux cours de la même matière dans la même journée. Ceci peut se faire pour diverses raisons, comme le remplacement d’un enseignant absent, le besoin de rattraper le programme scolaire, ou d’autres raisons pédagogiques.

    Rattrapage de Temps Perdu : L’explication donnée par votre professeur concernant le rattrapage des « dizaines de minutes perdues » est également valable. Les enseignants et l’administration peuvent juger nécessaire de consolider le temps d’apprentissage, surtout si des perturbations ont eu lieu durant les cours habituels.

    Droit de l’Enseignant et de l’Établissement : Les enseignants et la direction de l’école ont la latitude de prendre de telles décisions pour assurer la continuité et la qualité de l’enseignement. Cela fait partie de leur responsabilité pédagogique.

    Communication : Si cette situation provoque des inquiétudes ou des questions parmi les élèves, il est toujours conseillé d’en parler de manière respectueuse avec l’enseignant concerné ou avec la direction pour comprendre pleinement les raisons de cette organisation.

    Droits des Élèves : Il est important de noter que les droits des élèves à une éducation de qualité et dans de bonnes conditions doivent toujours être respectés. Si vous pensez que cette situation nuit à votre apprentissage ou à votre bien-être, il est important d’en discuter avec vos parents ou les responsables de l’établissement.

  36. Vie Privée : Les enseignants ne devraient pas poser de questions sur la vie privée de leurs élèves qui ne sont pas liées à leur éducation ou leur bien-être à l’école.

    Rôle de l’Enseignant : Le travail d’un enseignant est d’éduquer et de veiller au bien-être de ses élèves. Ils ne devraient pas s’impliquer ou partager des informations personnelles sans raison valable.

    Ce que Vous Pouvez Faire :
    Parler avec l’Enseignant : Rencontrez l’enseignant pour discuter de vos inquiétudes.
    Contacter la Direction de l’École : Si la discussion avec l’enseignant n’est pas satisfaisante, adressez-vous à la direction de l’école.
    Protection de votre Enfant : Si vous pensez que votre fille est affectée négativement, mentionnez-le aux responsables de l’école.
    Conseil Juridique : En cas de problème grave, vous pourriez envisager de demander conseil à un avocat spécialisé.

    Confidentialité : Les enseignants doivent garder confidentielles les informations personnelles des élèves et ne pas les partager inappropriément.

  37. Bonjour,

    L’enseignant qui est aussi le directeur de mon enfant de 4 ans à changer les vêtements que porter mon enfant sois prétexte que celui-ci n’était pas concentré au vu de son habillement (une robe qui ferait apparemment princesse ). Est ce normal de faire cela ?

  38. bonjour,

    est-ce qu’un prof a le droit de me donner un surnom ???
    Car une fois en cours de français, le prof m’a appelé Crusty (le clown) et a mit sur le TBI une photo de crusty le clown, puis l’a montrer à tout le monde .
    depuis le prof m’appelle Crusty.

    Merci d’avoir lu ce message en espérant que vous y répondiez

  39. Bonjour,

    Tout d’abord, merci pour ta question. Je comprends que cette situation puisse te mettre mal à l’aise. En principe, un professeur devrait toujours respecter la dignité et le bien-être de ses élèves. L’utilisation de surnoms en classe par un enseignant devrait se faire dans un esprit de bienveillance et jamais de manière à embarrasser ou ridiculiser un élève.

    Si ce surnom te dérange et te met mal à l’aise, c’est important d’en parler. Tu pourrais essayer de discuter calmement de tes sentiments avec ton professeur, en lui expliquant que ce surnom te met dans une position inconfortable et que tu préférerais qu’il t’appelle par ton prénom.

    Si tu ne te sens pas à l’aise de le faire seul(e), tu pourrais en parler à un autre adulte de confiance à l’école, comme un autre enseignant, un conseiller d’éducation, ou le principal, qui pourrait t’aider à communiquer avec ton professeur sur ce sujet.

    N’oublie pas, tu as le droit de te sentir respecté(e) et à l’aise dans ton environnement scolaire. J’espère que tu trouveras une solution satisfaisante à cette situation.

    Merci à toi pour ta confiance, et j’espère avoir répondu à ta question.

  40. Bonjour,

    Je vous remercie de partager votre préoccupation. Il est compréhensible que cette situation vous ait laissé perplexe et peut-être même inquiet. En principe, la décision de changer les vêtements d’un enfant à l’école devrait être prise avec beaucoup de prudence et généralement pour des raisons de santé, de sécurité, ou si l’enfant s’est sali, par exemple. Il est assez inhabituel qu’un changement de vêtements soit justifié par l’impact supposé de l’habillement sur la concentration de l’enfant, surtout sans communication préalable avec les parents.

    Dans ce contexte, il est important d’avoir une conversation ouverte avec l’enseignant-directeur. L’objectif serait d’exprimer vos inquiétudes, de comprendre les motivations derrière cette décision, et d’expliquer l’effet que cela pourrait avoir sur votre enfant. Il serait également pertinent de discuter des attentes concernant l’habillement à l’école pour éviter des situations similaires à l’avenir et de s’assurer que toute intervention de ce type soit accompagnée d’une communication claire avec les parents.

    Si vous sentez que la réponse de l’enseignant-directeur n’est pas satisfaisante ou que de telles pratiques continuent sans une justification appropriée et une communication adéquate, il pourrait être utile de consulter le règlement intérieur de l’école ou de vous adresser à un niveau supérieur de l’administration scolaire pour obtenir des clarifications sur les politiques d’habillement et le respect des droits des enfants et des parents.

    Il est essentiel que les enfants se sentent en sécurité et respectés dans leur environnement éducatif, et cela inclut le respect de leurs choix d’habillement, dans la mesure où ils respectent les normes de l’école. Votre implication et votre dialogue avec l’école sont cruciaux pour assurer le bien-être de votre enfant.

    Merci de m’avoir fait part de votre situation. J’espère que vous trouverez une résolution satisfaisante et juste pour vous et votre enfant.

  41. Bonjour
    Mon fils est en 5eme et suite à une dictee elle l’a fait recopier 9 fois en 5jours.
    (Puisqu’en recopiant il en faisait encore 1 ou 2)
    Je lui ai écrit que ça serait la dernière dictée recopier, elle m’a répondu « je suis seule maître juge. »
    Pour moi ça relève de la punition, et d’une forme de harcèlement.
    Merci pour votre réponse
    Cordialement.

  42. La gestion des punitions en milieu scolaire est strictement encadrée pour respecter la dignité, l’intérêt de l’enfant, et son intégrité physique et morale, conformément à la Convention des droits de l’enfant. Les punitions doivent avoir un caractère éducatif et ne peuvent en aucun cas porter atteinte à l’intégrité morale ou physique de l’élève. Les lignes à écrire une centaine de fois sont notamment à proscrire, car elles n’ont pas un caractère pédagogique et peuvent donc être considérées comme inappropriées​​.

    Les sanctions et punitions doivent être prévues par le règlement intérieur de l’établissement et ne peuvent pas être collectives; elles doivent être individuelles mais peuvent concerner plusieurs élèves si les faits sont commis en groupe. Il est important d’établir les degrés de responsabilités de chacun afin d’individualiser la sanction​.

    Si vous estimez que la punition infligée à votre fils n’est pas conforme à ces principes, il est recommandé de commencer par un dialogue avec l’enseignant pour exprimer vos préoccupations. Si cela ne mène pas à une résolution satisfaisante, vous pouvez ensuite vous adresser à la direction de l’établissement. Dans les cas où une solution ne peut être trouvée au sein de l’établissement, il est possible de se tourner vers l’inspection académique pour faire valoir vos droits et ceux de votre enfant.

    Il est crucial que toute punition ait une visée éducative, soit adaptée à l’âge de l’élève et à la situation, et fasse l’objet d’une information écrite aux parents. La distinction entre punitions et sanctions est importante, les premières ne visant pas des actes de même gravité que les secondes et ne figurant pas dans le dossier administratif des élèves​​.

  43. Bonjour, est ce normal qu’une maitresse de maternelle section petite et moyenne section ne recompense pas un enfant lors d’une sortie judo?
    Je m’explique:
    Mon enfant agé de 4 ans est allee en sortie avec la moitié de l’école ainsi que des parents d’élève.
    Mon enfant est hyper bloquer face aux inconnus, à la foule et n’ose pas faire une activité qu’il ne maitrise pas.
    Hors ce jour là, il a ete jeter dans le grand bain etre préparé.
    Au final on la vite mis de coté car il se braquer jusqu’à simuler un mal de ventre et une nausee.
    une maman qu’il connaissait c’est occuper de lui, il a pu faire un parcours plusieurs fois.
    Au final tout le monde à reçu une medaille sauf lui et ils ont bien répéter meme a la sortie de l’école, c’est parce qu’il veut rien faire.
    Aujourd’hui je suis mal face a cette situation, entre colere et tristesse.

  44. Il est facile d’accuser les élèves ou les parents de manière générale. Cependant le noeud du problème à l’école est le respect. Les professeurs, qui se sentent parfois dépassés, en arrivent à adopter un comportement irrespectueux et incompatible avec la sérénité des élèves. Lorsque vous voyez que ces comportements sont légitimés par des directeurs ou directrice d’école juste par solidarité pour leurs collègues, je vous assure que les professeurs tout comme les élèves en pâtissent car le respect tout doucement s’estompe et finit par disparaitre. Il est important de se rappeler que l’élève est le futur professeur, que si l’éducation nationale ne sanctionne pas les humiliations des professeurs, ces humiliations seront répétés par la prochaine génération. Le professeur et l’élève sont tout aussi important l’un que l’autre. Chacun doit pouvoir mettre son égo de côté et apprendre à demander pardon sans gêne. La plupart des professeurs n’ont pas ce courage, leur égo est plus fort.
    Ainsi vous savez vers quoi la société tend, à moins que les professeurs décident que chacun a droit au respect, et commencent à sérieusement respecter les élèves.

  45. Bonjour moi la professeur de ma fille l’a insulté de menteuse en disant qu’elle n’a pas de personnalité et en disant à ses camarades qu’elle harceler une fille dans sa classe alors que c totalement faux j’ai meme la preuve sur mon téléphone j’ai pris des captures d’écran car c’est cette fille qui a tenté de blesser ma fille par messages.J’aimerais en parler avec le directeur mais je ne sais pas comment mis prendre pouvait vous m’aider s’il vous plaît

  46. Pour aborder cette situation avec le directeur, je vous conseille de rédiger un courriel ou une lettre formelle. Expliquez clairement et calmement les faits, en mentionnant que vous disposez de preuves concrètes qui contredisent les accusations portées contre votre fille. Demandez un rendez-vous pour discuter de cette affaire en personne, afin de clarifier la situation et de trouver une solution respectueuse pour toutes les parties impliquées. Il est important de rester factuel et de ne pas laisser les émotions prendre le dessus pour que le dialogue puisse être constructif.

  47. Bonsoir.
    Je suis élève en classe de seconde, et j’avais besoin de me calmer en vous écrivant. Depuis le début de l’année, j’ai une de mes profs qui n’ai pas très sympathique (je suis gentille en disant ça) avec ma classe. Nous sommes environ 35 élèves, et comme toutes les classes, nous sommes dissipés. Sauf que nous, nous avons le droit à la totale… Bref, ce n’est jamais facile. Cette professeure a, depuis le début, plusieurs élèves de ma classe « dans son viseur »; j’entends par là que ce sont toujours les mêmes personnes qui se prend ses réflexions du genre « Vous n’avez pas fait votre travail ? Et bien, ça ne m’étonne pas », ou encore « Espèce de sale gosse » pour un téléphone qui tombe parterre. De plus, elle nous colle 2H lorsqu’une évaluation a été catastrophique (donc on a toujours le droit à la même musique, remise en question, et tout le tralala). J’ai moi-même eu sur un DS trimestriel un 3,5, la pire note de la classe, et elle a bien sûr saisie l’occasion pour me crier « Vous n’allez pas crier sur tout les toits votre note qui n’est pas un exploit ! »… Et il y avait des stagiaires de 3e dans ma classe, je vous laisse imaginer la honte. Certaines personnes ne veulent plus venir du tout, certain ne participent plus sinon elle dit ouvertement qu’on n’a pas travaillé, et certains parents d’élèves sont outrés des faits de cette prof. Je ne sais plus quoi faire.
    Alors oui, je veux bien comprendre que nous devons le respect aux professeurs; mais ce respect doit être mutuel.
    Merci d’avoir lu mon message, en l’attente de vos réponses

  48. Bonsoir,
    Mon fils de 15 ans est dans le collimateur de ses profs au point que ces derniers lui fassent limite du harcèlement. Le problème est qu’il est interne et qu’il est convoqué tous les soirs par la CPE pour expliquer pourquoi il ne sourit pas aux profs, pourquoi il a cette attitude nonchalante, pourquoi il est insolent. Au point qu’ils ont essayé de le virer pour un harcèlement qui n’a pas eu lieu, puis une histoire de jet de projectiles dont il n’était pas l’auteur. Auteur qui s’est dénoncé d’ailleurs, et un soir il a été convoqué à 20H30, pendant 2 h, on lui a fait croire qu’il était toujours considéré comme coupable de cet histoire et comme il s’est défendu on lui a demandé de faire une lettre de dénonciation pour ne pas être lui meme dénoncé. Nous sommes profondément choqué d’autant que la dénonciation n’est pas du tout dans nos principes mais au delà de ça, peuvent-ils faire ce genre de choses sans nous concerter ? que devons-nous faire ? d’avance merci

  49. Je comprends que la situation est difficile pour votre famille. Voici ce que vous pouvez faire, de manière simple et directe :

    Parlez avec la direction de l’école : Demandez un rendez-vous pour discuter des problèmes que rencontre votre fils. Apportez des faits et exprimez clairement vos inquiétudes.

    Informez-vous sur les procédures : Assurez-vous de comprendre comment l’école gère les problèmes disciplinaires. Vous avez le droit de savoir pourquoi votre fils est convoqué et d’être impliqué dans le processus.

    Assistez aux réunions disciplinaires : Si l’école prend des mesures disciplinaires contre votre fils, vous pouvez y assister et vous exprimer.

    Cherchez un médiateur : Si les discussions avec l’école ne mènent à rien, un médiateur scolaire peut aider à trouver une solution.

    Pensez à un recours : Si vous n’êtes pas d’accord avec les décisions de l’école, vous pouvez contacter l’académie ou le rectorat. En dernier recours, consulter un avocat spécialisé peut être une option.

    Il est important de rester calme et de chercher à dialoguer pour résoudre le problème. Votre soutien est crucial pour votre fils dans cette situation.

  50. Aujourd’hui 22 mars 2024, j’ai assisté à une séance profondément choquante d’un personnel encadrant de l’école élémentaire de mon fils de 8 ans au moment où les enfants aller au réfectoire.
    Je sortais du bureau de la directrice quand en sortant de l’école j’entends un adulte crier fort et quand je me retourne, j’aperçois cette personne qui travaille à l’école baisser vers l’enfant et lui crier dans l’oreille qu’il n´a pas à lui manquer de respect… et je me rends compte qu’il s’agit de mon fils. Je me rapproche de la scène sans dire un mot et observe la situation choquée par la violence que j’observe. Plus je me rapproche, plus je me sens mitigée entre lui le sentiment est ce normal ou pas de crier sur un enfant de cette façon devant les élèves et le corps enseignant. La directrice me voyant observer la scène se rapproche du monsieur et lui dit doucement « la maman est la ». Surpris le Monsieur s’arrête, mon fils se retourne et est en larme, tête baissé totalement dévasté. Je le prends dans mes bras et cherche à le réconforter par un énorme câlin. Le groupe d’élèves part dans le réfectoire et nous nous retrouvons la directrice, ce monsieur dont je ne connais pas vraiment le poste, je sais juste qu’il aide le personnel enseignant pour recadrer les enfants « difficiles » (je dirais plutôt qui ne rentrent pas dans le moule), mon fils et moi-même. J’essaie de comprendre ce qu’il se passe et il m’explique que mon fils a été violent avec un autre élève( un coup de pied d’après les dires du parent de l’enfant en question), qu’ils avaient déjà eu un entretien à huit clos avec les 2 élèves et que à nouveau mon fils aurait eu un acte de violence et qu’il n’avait pas respecter le cadre. Je vous avoue que je ne me rappelle pas tout ce qui a été dit tellement j’étais sous le choc de la situation. Ce n´est pas la 1ère fois que mon fils me dit que ce monsieur lui crie dessus et une fois aussi il aurait dit à la maîtresse qu’il fallait acheter à mon fils une tétine devant tout me monde. Je conçois qu’il n´est pas toujours facile de travailler avec les enfants mais cette situation me pose problème. Je compte, après les vacances rencontrer ce monsieur. Qu’en pensez-vous ?

  51. Votre inquiétude est tout à fait normale face à cette situation délicate. En France, l’école doit être un lieu sûr où respect et bienveillance vont de pair avec l’apprentissage. Voici quelques conseils, exprimés simplement, pour aborder cette situation :

    Prenez des notes sur ce qui s’est passé, avec les dates et heures. Cela vous aidera à garder un fil conducteur lors des discussions à venir.

    Parlez-en avec la directrice de l’école. Vous semblez déjà en contact ; une conversation calme pour expliquer vos inquiétudes est un bon point de départ.

    Rencontre avec le personnel : L’idée de discuter avec la personne concernée est bonne, mais pensez à le faire en présence d’un tiers, comme la directrice, pour garder la discussion constructive.

    Demandez à voir les règles de l’école sur la discipline et le comportement des adultes. Cela vous donnera une idée des normes à respecter.

    Suivi : Après avoir exprimé vos préoccupations, demandez quelles mesures seront prises pour éviter que cela se reproduise.

    Aide extérieure : Si les choses ne s’améliorent pas, vous pourriez chercher du soutien auprès d’associations de parents ou même consulter un spécialiste du droit de l’éducation.

    Il est important que l’école reste un lieu où votre fils se sent en sécurité et respecté. Votre démarche, empreinte de calme et de volonté de dialogue, est essentielle pour le bien-être de votre enfant et peut contribuer à améliorer l’ambiance à l’école.

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