40 jeux de récréation d’autrefois et d’aujourd’hui

La pause de la récréation, c’était le moment de souffler un peu pour tout le monde. Alors, pourquoi ne pas se replonger dans les jeux d’école d’antan ? Ces jeux, qui émaillaient autrefois les journées des élèves, avaient leur importance. Ils étaient le cœur battant de la récré, où chacun, armé de ses petites trouvailles, s’évadait le temps d’un instant.

Redécouvrons ensemble ces jeux de cours de récréation qui animaient nos écoles : le jeu du béret, synonyme de vivacité, ou encore le cache-cache cailloux, jeu d’esprit et de complicité. Ces distractions, héritage d’un temps révolu, nous enseignent la valeur du jeu et du partage. Laissez-moi vous guider à travers les règles simples mais captivantes de ces jeux ancestraux, véritables ponts entre les générations, qui ont jadis coloré les récrés de 1950 et bien avant. Un voyage dans le temps, pour que nos enfants puissent, eux aussi, goûter à la magie de ces instants ludiques partagés.

Jeux de cour de récréation d’autrefois

Voici les jeux d’autrefois à l’école :

1. Le béret

Les enfants se divisent joyeusement en deux équipes, qui se font face, alignées de chaque côté de la cour. Au cœur de cet espace de jeu, un objet attend, neutre et convoité.

Dans un murmure complice, chaque équipe attribue en secret un numéro à chacun de ses membres, créant ainsi un lien invisible mais essentiel entre eux.

Positionnés dans leur zone, les yeux brillants d’anticipation, les enfants attendent le signal.

L’arbitre, avec une pointe d’excitation dans la voix, lance un numéro dans l’air. Les enfants désignés par ce chiffre magique s’élancent alors, avec pour seule mission de capturer l’objet central et de le ramener victorieusement dans leur camp, tout en respectant une règle d’une étonnante simplicité : garder une main dans le dos.

Si l’un d’eux parvient à franchir le retour avec l’objet, un point s’ajoute à l’escarcelle de son équipe. Mais attention, si en chemin, l’objet en main, il est touché par un adversaire, le point change de camp, ajoutant une touche de stratégie au jeu.

La partie s’anime, les numéros s’envolent au gré de l’arbitre, qui peut décider de répéter le même appel, maintenant ainsi suspense et vigilance.

Puis vient le moment où l’arbitre annonce « Salade » ! Ce mot-clé libère une vague d’énergie : tous les joueurs se précipitent vers l’objet, dans un tourbillon de rires et de stratégies improvisées.

Ce jeu, par sa simplicité et son dynamisme, renforce les liens, enseigne l’esprit d’équipe et la rapidité, tout en promettant des moments de joie pure et de complicité enfantine.

2. Les œufs colorés

Ce jeu, par son originalité, promet de captiver l’ensemble de la classe dans un tourbillon d’enthousiasme. L’un des élèves endosse le rôle du loup, tandis que ses camarades, alignés côte à côte, se préparent à l’affronter. En silence, chacun choisit secrètement une couleur, comme un bouclier invisible contre l’adversité.

L’instant d’après, le jeu s’anime : le loup lance le défi par un « toc-toc ! » retentissant. La réponse, unie et curieuse, fuse : « Qui est là ? » À laquelle le loup, avec une pointe de malice dans la voix, réplique : « Le méchant loup ! » Les joueurs, feignant l’inquiétude, demandent : « Que veux-tu ? » La demande du loup, « des œufs colorés ! », instille une touche de suspense. « De quelle couleur ? » osent-ils demander.

Lorsque le loup énonce une couleur, c’est le signal : les « œufs » de cette teinte se lancent dans une course effrénée pour atteindre le salut de l’autre côté du terrain, tandis que le loup tente de les capturer.

Celui qui est attrapé revêt alors la peau du loup, et l’aventure recommence, tissant ainsi un cycle ludique de poursuites et d’éclats de rire. Ce jeu, véritable ballet entre ruse et agilité, s’érige en un moment privilégié où l’imagination colore l’interaction, renforçant les liens et la cohésion au sein de la classe.

3. Cache-Cache : un classique intemporel

Le cache-cache se dresse comme un pilier des jeux enfantins, traversant les âges sans prendre une ride. Dans ce ballet de cachettes et de découvertes, chaque enfant trouve un recoin, espérant que son ingéniosité le rendra invisible aux yeux du chercheur. Ce dernier, après avoir compté, se lance dans une quête palpitante, ses yeux scrutant chaque ombre, chaque recoin. À chaque camarade découvert, il lance un joyeux « Trouvé ! » ou « Vu(e) ! », suivi du nom de l’enfant découvert. Ensemble, ils unissent leurs forces pour débusquer les autres, jusqu’à ce que la dernière cachette livre son secret. Le jeu prend alors un nouveau départ, le rôle du chercheur passant soit au premier trouvé, soit au dernier, dans un renouvellement constant du défi et de l’excitation.

4. Trap trap jeu : la simplicité de la poursuite

Quant au jeu du trap trap, il incarne la quintessence de la simplicité ludique. Un terrain est défini, et le sort désigne l’enfant qui endossera le rôle de chasseur. Le jeu s’engage dans une ronde effrénée, les enfants courant autour de celui qui est « it », chaque mouvement chargé d’anticipation. Lorsque le toucher fatal est porté, un cri s’élève : « Pris, touché, à toi, t’es le loup ! » Et voilà le rôle inversé, le nouvel « it » animé d’une détermination fraîche pour capturer ses amis. Ce jeu, par sa fluidité et son dynamisme, invite à un mouvement perpétuel, un rire partagé, et renouvelle sans cesse l’excitation de la chasse.

5. Le cache-cache de la sardine : une variante complice

Imaginez une version renversée du cache-cache, où l’unité fait la force et l’espace se réduit comme peau de chagrin. C’est le principe du cache-cache de la sardine. Par tirage au sort, une personne devient la sardine et se dissimule, tandis que le reste du groupe, après avoir compté jusqu’à 50 yeux fermés, se lance dans une chasse solitaire mais finalement collective. La trouvaille d’un camarade se transforme en un défi de discrétion : se serrer à ses côtés, invisibles aux yeux des autres. L’objectif ? Former un amas indétectable, une véritable boîte à sardines humaine. L’ultime découvert prendra le rôle de la sardine lors de la prochaine ronde, perpétuant ainsi ce ballet d’union et de malice.

6. La clef de St-Georges (le renard qui passe)

Dans l’univers ludique des enfants, la Clef de St-Georges se présente comme un rituel empreint de ruse et d’adresse. Formant un cercle, les enfants accueillent en leur sein un « renard », détenteur d’une clé fictive. Tandis qu’il déambule autour du cercle, il entonne une mélodie évoquant sa quête de déposer la clef de Saint-Georges. Au moment opportun, il glisse la clé derrière un des participants sans éveiller l’attention. La découverte de la clé déclenche une course effrénée : le détenteur doit alors capturer le renard avant que ce dernier ne se réfugie à sa place initiale. En cas d’échec, le renard capturé devient le spectateur central d’une nouvelle ronde, attendant son remplacement. Ce jeu, par son mélange d’anticipation et de vivacité, tisse des liens de complicité et d’adresse, faisant de chaque tour une aventure nouvelle.

7. Le chat perché

Dans le jeu du chat perché, l’astuce se mêle à l’adresse physique. Ici, le chat, maître du jeu, désigne le perchoir – un muret, un trottoir, ou tout autre refuge surélevé – avant de lancer sa chasse. La règle d’or : le dernier à trouver sa place en hauteur devient le nouveau chat, tandis que les souris agilement perchées restent hors de portée. Si toutes réussissent l’exploit de se percher simultanément, le chat, dans un élan de malice, peut déclarer « la maison brûle », forçant ainsi les souris à s’élancer vers un nouveau sanctuaire. Celui ou celle qui ne trouve pas à temps son salut dans cette migration précipitée prend la place du chat, renouvelant ainsi le cycle du jeu dans un esprit de vivacité et de rire.

8. Le facteur n’est pas passé

Le jeu « Le facteur n’est pas passé » se déroule dans une atmosphère empreinte d’attente et d’anticipation. Les enfants, assis en cercle, accueillent parmi eux un messager errant qui, au gré de la comptine, annonce les heures, ajoutant à chaque vers une tension croissante. Silencieusement, il dépose son mouchoir derrière un participant, lançant ainsi un défi spontané. Dès la découverte de l’objet, le destinataire, dans un sursaut d’énergie, tente de toucher le facteur avant que ce dernier ne reprenne sa place dans le cercle. Si attrapé, le facteur se voit attribuer le rôle de la « chandelle », marquant le début d’un nouveau cycle de gages et de courses, où chaque tour est une opportunité de rire et de complicité partagée.

9. Jeux de billes d’autrefois : un héritage ludique

Les jeux de billes constituaient autrefois un véritable patrimoine enfantin, où chaque petite sphère de verre ou de terre cuite renfermait un monde de possibilités. Armés de leurs sacs en toile de jean, confectionnés avec soin et munis d’un cordon coulissant, les enfants transportaient leur précieux arsenal de billes vers l’arène de jeu : la cour de récréation.

Un trou dans le sol devenait le théâtre d’âpres compétitions, où adresse et stratégie se mêlaient pour conquérir le but ultime : loger toutes ses billes dans le trou avant ses camarades. Ce jeu ancestral requérait un mélange de précision et de tact, chaque joueur peaufinant sa technique au fil des parties.

Les variantes enrichissaient le jeu, offrant à chaque rencontre une nouvelle dimension :

• Le tic : ici, la précision était reine. Un joueur plaçait sa bille au sol, et ses adversaires, depuis une distance de trois mètres, tentaient de la frapper avec la leur. Chacun son tour, ils lançaient leur défi, et le premier à réussir remportait la victoire.
• Le pot : cette variante transformait un simple trou creusé dans le sol en cible de tous les enjeux. Depuis la ligne de départ tracée à trois mètres, les joueurs lançaient leurs billes vers le pot, chacun aspirant à être le premier à cumuler dix points.
• La poursuite : duel de précision, ce jeu se jouait à deux, chaque participant visant à toucher directement la bille de son adversaire, dans un ballet de tactique et d’agilité.

10. L’élastique : un jeu de bondissements et de rires

Le jeu de l’élastique, quant à lui, invitait à une tout autre forme de défi : le saut. Avec seulement deux amies et un élastique, les cours d’école se transformaient en scènes de joie et de compétition amicale. L’élastique, tendu entre les chevilles de deux joueuses, devenait l’obstacle à franchir dans une série de sauts complexes et inventifs, chaque séquence augmentant en difficulté et en intensité. Ce jeu, symbole de l’insouciance et de la créativité enfantines, perpétuait à travers les générations l’art du saut et du rire partagé.

11. La corde à sauter : un classique indémodable

Les filles pratiquent en majorité ce jeu enfantin . C’est une activité amusante et très bonne pour la santé.

L’enfant qui veut gagner la course doit sauter à la corde  en faisant des bonds en avant, jusqu’à atteindre une ligne d’arrivée.

Il existe différentes variantes de ce jeu comme le binôme, le manège, le serpent…

12. La marelle : entre jeu et apprentissage

La marelle est un incontournable des récréations, offrant aux enfants un espace ludique où le dessin au sol devient le support d’aventures imaginaires. Du tracé sur le goudron, émerge un parcours symbolique de la « terre » au « ciel », ponctué des chiffres de 1 à 9, invitant au voyage à travers des sauts maîtrisés. Armés d’un simple caillou, les joueurs se lancent dans une quête d’équilibre et de précision, le but étant de parcourir l’itinéraire à cloche-pied, de conquérir le « ciel » et de revenir sur « terre », tout en manœuvrant habilement pour récupérer leur marqueur sans faillir. Ce jeu, par son aspect à la fois ludique et éducatif, permet non seulement de se divertir mais aussi d’apprendre à compter et à maîtriser son équilibre, illustrant la richesse des jeux de cour dans le développement de l’enfant.

13. Le fermier dans son pré

C’est l’un des jeux de récréation anciens. Les enfants chantent : « Le fermier dans son pré, le fermier dans son pré, ohé ohé ohé, le fermier dans son pré… ».
Un enfant au centre de la ronde joue le rôle du fermier, il choisit dans les enfants de la farandole « sa femme », qui choisit à son tour « son enfant », « la nourrice », « le chien », « le chat », « la souris » et enfin « le fromage » qui est « battu » (gentiment, évidemment) au centre de la ronde.

14. Jeu des osselets

Le jeu des osselets était très connu dans la Grèce antique. Il est parmi les jeux de cour de récréation d’autrefois du primaire les plus connus. Seulement les garçons pratiquent ce jeu. Il nécessite de la rapidité et de l’adresse.

La règle de base du jeu était simple :

• Lancer un osselet en l’air (en général « le père »).
• Ramasser un osselet parmi ceux posés par terre.
• Rattraper « le père » avant qu’il ne touche le sol.

 Le but du jeu est de ramasser le plus d’osselets possible, mais le but ultime est de récupérer l’osselet père (l’osselet rouge). La difficulté est de ramasser cet osselet père avant qu’il ne touche le sol.

15. Un, deux, trois, soleil

C’est un jeu enfantin très populaire dans les cours de récré. Les enfants doivent toucher le mur opposé et crier : « Soleil ! », sans que le garçon qui se place debout face à ce mur ne les voie bouger. On l’appelle le meneur de jeu.

Le meneur de jeu crie « 1, 2, 3 » et lorsqu’il dit « Soleil ! », il se retourne. Tant qu’il compte, face au mur, les autres enfants peuvent avancer, mais doivent se figer et rester immobiles dès que le meneur dit « Soleil ! » et se retourne. Si l’un d’entre eux bouge, et est repéré par le meneur, il doit retourner au point de départ appelé « niche ». Si un enfant réussit à toucher le mur sans que le meneur ne l’ait vu, il prend sa place et le jeu peut recommencer.

16. Le jeu de la tomate

C’est l’un des jeux de cour de récréation d’autrefois les plus incontournables depuis des générations. Tous les joueurs se placent debout en cercle, jambes écartées, pied contre pied. Les joueurs se penchent en avant et forment un poing avec leurs mains serrées, pour défendre leur but.

L’objectif est d’envoyer un ballon entre les jambes d’un autre joueur pour marquer un but. Si un joueur laisse passer la balle, on le considère éliminé et quitte le cercle.

17. Le jeu de quilles

Ce jeu est une activité sportive au cours de laquelle le joueur fait rouler une boule afin de les faire tomber. Il existe diverses variantes de jeux de quilles.

Le but de chaque enfant est de faire tomber le plus de quilles possible en un seul lancer, mais il doit au moins faire tomber la quille située sur le devant du jeu.

18. Gendarmes et voleurs

Ce jeu se compose de deux équipes, une équipe de police et l’autre de voleurs. À une extrémité, ce sont les policiers et à l’autre extrémité du terrain, se trouvent les voleurs.

Au signal, les policiers vont à la poursuite des voleurs et les ramènent en prison s’ils les touchent. Donc, si le policier touche le voleur, celui-ci va sur le banc et il est éliminé.

Les voleurs prisonniers forment une chaîne en se donnant la main. Un voleur en liberté peut venir délivrer ses compères en coupant la chaîne. Les voleurs de la chaîne coupée sont à nouveau libres.

La partie s’arrête quand tous les voleurs sont en prison.

19. Jeu du Colin-Maillard

Un jeu où le but est de se faire bander les yeux afin de retrouver ses amis… le but est de toucher les joueurs puis de les reconnaître, tout en ayant les yeux bandés. On a besoin seulement :

• Un bandeau ou un morceau de tissu.
• Être un minimum de joueurs.
• Jouer dans un espace réduit pour que le « chasseur » puisse trouver les autres joueurs.

Le chasseur doit reconnaître ses amis à l’aide de ses mains.

20. L’épervier

Ce jeu est un grand classique des jeux de récré ! Les enfants l’apprécie beaucoup, car il allie sport et distraction. La règle de ce jeu est simple : l’enfant doit traverser l’intégralité du terrain sans se faire toucher par l’épervier. Le dernier enfant qui reste en liberté remporte la partie.

21. Chat bougie

C’est l’un des jeux de cour de récréation d’autrefois les plus populaires ! 

Pour commencer une partie de chat bougie, il faut un groupe avec un minimum d’enfants. Après, il faut désigner le « chat » en premier, ou effectuer un tirage au sort pour le choisir.

Dans ce jeu, le chat doit attraper les souris. Ce dernier se transforme en « bougie ». C’est-à-dire qu’il fond à la manière d’une bougie. L’enfant se laisse tomber lentement au sol, joignant les deux mains au-dessus de sa tête, en imitant une bougie qui fond pendant environ dix secondes.

La souris bougie doit être libérée après dix secondes. Alors, elle doit jouer le rôle du chat.

22. Le saute mouton

C’est un jeu amusant et sportif qui consiste à sauter successivement, par-dessus tous ses camarades penchés en avant.

Les joueurs se relaient de la manière suivante : tous se penchent vers l’avant en formant une ligne, et les derniers passent, tour à tour au-dessus d’eux, en posant les mains sur leur dos. Lorsque le dernier joueur debout a sauté par-dessus l’avant-dernier, celui-ci se relève et saute à son tour par-dessus ceux qui le précèdent, et ainsi de suite.

23. Twister, le célèbre jeu de craies

Le célèbre jeu où il faut se tordre dans tous les sens pour placer ses pieds et ses mains sur les bons ronds de couleurs. 

Pour jouer au Twister, on a besoin :

• Des ronds de couleurs à la craie (6 rangées de 4).
• Fabriquer une roue des couleurs pour savoir quelle partie du corps sera à poser sur les ronds. On peut dessiner la roue des couleurs sur le sol.

24. Quatre Carrés

Le jeu classique de kickball, auquel vous jouez sans donner de coups de pied. Il vous suffit d’avoir quatre grands carrés numérotés et les règles de jeu. Si vous ne respectez pas une des règles, vous êtes éliminé et le joueur suivant est inscrit.

Le but du jeu de quatre carrés est d’éliminer les joueurs des carrés supérieurs afin que vous puissiez vous-même avancer vers le carré supérieur. On joue avec un ballon en caoutchouc sur un terrain carré de quatre joueurs, chacun occupant un quart du terrain. Le ballon rebondit entre les joueurs dans les carrés en attendant qu’un joueur commette une erreur et soit éliminé. Les joueurs éliminés quittent le terrain, tous les joueurs avancent pour remplir les carrés vides, et un nouveau joueur rejoindra alors le carré le plus bas du classement.

25. Jeux de cour de récréation d’autrefois : la Balle

Tout d’abord, renseignez-vous sur le type de balle autorisée.

Pendant le jeu, les joueurs ne peuvent frapper la balle qu’avec leurs mains. Nous décrivons les « mains » comme toute zone entre les poignets et le bout des doigts du joueur, y compris le dos des mains. La balle peut être frappée avec les poings ouverts ou fermés de la même manière que le volley-ball officiel. Les joueurs ne peuvent pas attraper, porter ou tenir le ballon pendant le jeu. Il est permis de faire tourner la balle tant que la touche qui produit la pirouette n’est pas un portage ou une autre touche illégale. On nous pose beaucoup de questions sur les pirouettes.

Dans tous les cas, les joueurs qui frappent le ballon incorrectement sont éliminés.

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Jeux de récréation d’aujourd’hui

Les jeux de récréation d’aujourd’hui sont des mosaïques vivantes où se côtoient traditions et innovations, reflétant les passions et les tendances du moment. Voici quelques jeux qui captivent les enfants de notre époque :

26. Pop It : un jeu simple et relaxant

Le Pop It, c’est comme éclater du papier bulle, mais en mieux. Ce petit jouet en silicone, avec ses bulles à presser, est devenu un vrai phénomène. Chaque « pop » apporte un petit moment de plaisir et de détente. Les enfants adorent jouer avec parce que c’est à la fois amusant et ça les aide à se calmer. Facile à emporter partout, le Pop It est un moyen sympa de se relaxer à tout moment.

27. Pokémon : des cartes pour jouer et échanger

Les cartes Pokémon, c’est tout un monde d’aventures à collectionner et à partager entre amis. Chaque carte représente un Pokémon avec ses propres pouvoirs. Les enfants adorent les collectionner, les échanger et surtout, s’affronter en imaginant des combats entre leurs Pokémon préférés. C’est un jeu qui mélange collection, stratégie et beaucoup d’imagination, parfait pour s’amuser tout en développant ses talents de stratège.

28. Go Pop! : Un duel de bulles

Go Pop! c’est un jeu de réflexion simple mais captivant pour deux joueurs. Vous avez un plateau rempli de petites bulles en silicone. À tour de rôle, vous et votre adversaire pressez les bulles. Le piège ? Faire en sorte que ce soit l’autre qui se retrouve à devoir presser la dernière bulle. C’est un jeu de stratégie et de malice, où chaque choix compte.

29. Bakugans : Batailles de billes et de cartes

Les Bakugans, c’est un mélange unique de billes qui se transforment en figurines, de cartes, et de stratégie. Deux joueurs s’affrontent en lançant des billes qui, au contact de cartes spéciales, se déploient en créatures prêtes au combat. Chaque joueur utilise ses cartes pour booster ses Bakugans ou piéger l’adversaire. C’est un jeu d’action et de réflexion, où prévoir et surprendre sont les clés de la victoire.

30. Beyblades : Le tournoi des toupies

Avec les Beyblades, place au frisson des duels de toupies ! Les joueurs choisissent leur toupie, chacune avec ses propres caractéristiques et stratégies, puis les lancent dans une arène. Le but ? Être la dernière toupie qui tourne ou réussir à éjecter les toupies adverses hors de l’arène. C’est un jeu d’adresse et de tactique, où chaque lancement peut décider du vainqueur.

31. Go Pop! : Un duel de bulles

Go Pop! c’est un jeu de réflexion simple mais captivant pour deux joueurs. Vous avez un plateau rempli de petites bulles en silicone. À tour de rôle, vous et votre adversaire pressez les bulles. Le piège ? Faire en sorte que ce soit l’autre qui se retrouve à devoir presser la dernière bulle. C’est un jeu de stratégie et de malice, où chaque choix compte.

32. Bakugans : Batailles de billes et de cartes

Les Bakugans, c’est un mélange unique de billes qui se transforment en figurines, de cartes, et de stratégie. Deux joueurs s’affrontent en lançant des billes qui, au contact de cartes spéciales, se déploient en créatures prêtes au combat. Chaque joueur utilise ses cartes pour booster ses Bakugans ou piéger l’adversaire. C’est un jeu d’action et de réflexion, où prévoir et surprendre sont les clés de la victoire.

33. Beyblades : Le tournoi des toupies

Avec les Beyblades, place au frisson des duels de toupies ! Les joueurs choisissent leur toupie, chacune avec ses propres caractéristiques et stratégies, puis les lancent dans une arène. Le but ? Être la dernière toupie qui tourne ou réussir à éjecter les toupies adverses hors de l’arène. C’est un jeu d’adresse et de tactique, où chaque lancement peut décider du vainqueur.

34. Ztringz : L’art de la ficelle

Ztringz, c’est un jeu avec une ficelle élastique que les enfants utilisent pour créer toutes sortes de figures avec leurs doigts. Ça peut être un pont, une étoile, ou même des formes plus complexes. C’est super pour faire travailler l’imagination et améliorer la dextérité des mains. Plus on pratique, plus on devient habile à inventer de nouvelles figures !

35. Hand Spinner : La toupie relaxante

Le Hand Spinner, c’est comme une petite toupie qu’on tient entre les doigts. En la faisant tourner, ça aide à se concentrer ou à se calmer si on se sent stressé. C’est un petit objet facile à emporter partout et qui peut être utilisé n’importe quand pour passer le temps ou se détendre un peu.

36. Ondamania (Slinky) : Le ressort magique

L’Ondamania, aussi connu sous le nom de Slinky, c’est un ressort coloré qui peut faire plein de trucs cool. On peut le faire « marcher » dans les escaliers ou le manipuler entre ses mains pour voir ses mouvements ondulatoires. C’est fascinant à regarder et ça inspire à inventer différents jeux. Un vrai classique qui stimule la créativité et qui est amusant pour tous les âges.

37. Cartes Yu-Gi-Oh! : Duels de monstres

Les cartes Yu-Gi-Oh!, c’est un peu comme les cartes Pokémon, mais avec plus de monstres et de magie. Les joueurs collectionnent des cartes qui représentent différents monstres, chacun avec ses propres pouvoirs et capacités. Le but, c’est d’utiliser sa collection pour battre son adversaire dans des duels stratégiques. Chaque joueur doit bien réfléchir pour choisir les meilleures cartes à jouer et gagner la partie. C’est un jeu qui mélange collection, stratégie, et un peu de chance.

38. Le Loup glacé : Course et stratégie gelée

Le Loup glacé, c’est une version rigolote du jeu du loup. Dans ce jeu, le loup peut « geler » les autres joueurs simplement en les touchant. Si tu es gelé, tu dois rester immobile, comme une statue, jusqu’à ce qu’un de tes coéquipiers vienne te « dégeler » en te touchant. Le but pour le loup est d’essayer de geler tout le monde, tandis que les joueurs tentent d’éviter le loup et de sauver leurs amis gelés. C’est un super jeu pour courir, rire et travailler en équipe.

39. La balle aux prisonniers : Esquive et capture

La balle aux prisonniers, c’est un jeu d’équipe classique et plein d’action. Les joueurs se divisent en deux équipes, chaque équipe essayant de toucher les joueurs de l’autre équipe avec un ballon. Si tu es touché, tu deviens « prisonnier » et tu dois aller dans une zone spéciale, souvent derrière l’équipe adverse. Mais il y a de l’espoir ! Tes coéquipiers peuvent te « libérer » en attrapant une balle lancée sans se faire toucher. C’est un jeu qui demande de l’agilité, de la stratégie et un bon esprit d’équipe pour gagner.

40. La corde à danser : Rythme et coordination

La Corde à Danser est un jeu de récréation dynamique qui allie musique, rythme et saut à la corde. Deux joueurs tiennent les extrémités d’une longue corde et la font tourner, tandis que les autres joueurs entrent dans la corde un par un pour sauter au rythme des chansons ou des comptines. Le but est de sauter sans toucher la corde, en réalisant parfois des figures ou des sauts spécifiques selon la chanson.

Ce jeu développe la coordination, le sens du rythme et l’agilité, tout en étant une activité ludique et collective. La Corde à Danser est idéale pour rassembler des enfants de tous âges, créant un moment de partage et de défi personnel au sein de la cour de récréation.

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