Humour

10 phases des angoisses du dimanche soir que seuls les enseignants comprennent

On pourrait penser que les enseignants seraient habitués tous les jours de la semaine, mais non. Comme sur des roulettes, quand le dimanche arrive, les enseignants du monde entier se recroquevillent en position fœtale, suppliant l’Univers pour juste… un… plus… jour. Le choc d’un autre week-end passé couplé à l’angoisse de la semaine de travail qui approche se traduit par ces angoisses du dimanche soir :

1. Tournait et se retourner dans le lit.

Combien d’enseignants seront absents demain ? Y aura-t-il assez de sous-marins ? Quels cours devrai-je couvrir ? si je couvre un autre laboratoire de biologie, je suis absent !

2. Vous envoyez des appels fervents aux dieux de l’assistance, en leur demandant de garder CET élève à la maison demain.

Soyons honnêtes : les lundis sont plus fluides quand il est absent.

3. En spirale, vous vous engagez dans la gymnastique mentale du dimanche soir.

Ai-je rapporté 100 articles à la maison ? Oui. Est-ce que j’ai énervé mon week-end au lieu de les classer ? Oui. Suis-je maintenant dans un tourbillon de débordement tout en choisissant de regarder une série sur  Netflix, ignorant encore une fois les journaux ? Oui aussi.

4. La menace d’une observation lundi matin est grande.

Si seulement insister à ce sujet revenait à s’y préparer…

5. Vous êtes tellement inquiet de dormir suffisamment que vous ne dormez pas. 

Cela n’augurera rien de bon pour quiconque que vous rencontrerez avant que la caféine n’entre en jeu.

6. Vous commencez à lancer des excuses pour avoir annulé lundi. 

Le chien est malade, il y a eu (un autre) décès en famille, le jamais disputé, toujours accepté : « J’ai la diarrhée ».

7. Chaque tâche de votre liste de tâches semble monumentale et insurmontable.

Il ne peut y avoir de priorité unique lorsque tout est une priorité. Il n’y a qu’une seule chose rationnelle à faire : manger votre poids en fromage.

8. Inexplicablement, vous devenez obsédé par quelque chose qui n’a absolument rien à voir avec vos préparatifs scolaires :

« Je me demande ce que fait mon entraîneur de la Petite Ligue ces jours-ci ? Je devrais essayer de le trouver sur Facebook. » *6 heures plus tard…*

9. Vous luttez avec la logique :

Le côté droit de votre cerveau vous dit de préparer votre déjeuner, de choisir une tenue et de préparer votre cartable. Mais le côté gauche de votre cerveau hurle pour plus de mèmes Bernie.

10. Répétez votre mantra de gratitude :

Je vous apprécie, la technologie. S’il te plaît, ne me baise pas demain matin.

Au moment où le mois d’août se transforme finalement en septembre, le week-end se termine inévitablement, ce qui ramène les enseignants en classe. Puisque nous ne pouvons pas revenir en arrière (encore… en vous regardant, l’intelligence artificielle), nous continuerons à espérer que quelqu’un inventera enfin un jour entre dimanche et lundi.

(Source)

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